Le premier dépolluant : la biodiversité

La nature est notre plus grand recycleur, même de nos pollutions. A condition de ne pas leur en donner une indigestion. Les arbres recyclent le CO2, des algues mangent les nitrites, les vers de terre dévorel’atrazine, etc…La biodiversité s’amenuisant, ce sont nos éboueurs qui disparaissent. Oh les garnements, ils nous laissent sur les bras nos poubelles chimiques !

Désempoisonner

La science a créé le poison, elle créera l’anti-poison : elle fait de nous ses clients captifs. Au niveau marketing, c’est top succès ! Il va nous falloir dépolluer nos pollutions : faire et défaire, c’est toujours travailler. Ne devrions nous pas favoriser les recherches qui portent sur les vrais sujets de survie collective ? Ne devrions-nous pas demander aux créateurs de nos désastres de nous rendre des comptes et de payer pour les dégâts qu’ils ont commis ? Nous ne le ferons pas aujourd’hui, mais demain nos enfants s’en chargeront. Heureusement, des ingénieux découvreurs inventent des méthodes qui ne créent pas des dégâts collatéraux aux dépollutions. Tout est à inventer.

Comment dépolluer sans créer de nouveaux dégâts, différents des premiers ?

S’inspirer des réussites

Comment des entreprises ont réfléchi différemment ?

Comment ont-elles réussi à contourner les difficultés  ?

Découvrez leur intelligence et créativité.