Quelle gratuité ?

Laisser des produits en accès libres, c’est apporter des éléments de base à ceux qui en ont besoin. Nous considérons que cette partie de notre activité peut être utile à certaines personnes, mais que sa valeur n’est pas suffisante pour la faire payer. C’est potentiellement, nous mettre notre profession à dos : ceux qui font payer des services de base, sans apporter de valeur ajoutée. Mais c’est aussi tirer vers le haut et faire évoluer notre activité, vers une amélioration de qualité de la prestation. La gratuité sert aussi d’appât pour vendre nos services à valeurs ajoutées. Il y a deux niveaux : un gratuit et un payant.

Freemium ?

Freemium est la contraction de free (libre, gratuit) et premium (valeurs ajoutées facultatives, mais payantes). En fait, nous parions sur l’excellence : nous faisons le pari fou que nos valeurs ajoutées sont tellement fortes qu’elles compenseront largement les dépenses liées au gratuit. Même si c’est un saut osé dans l’incertitude, c’est un modèle économique en pleine expansion. C’est aussi le pari de pme-pmi-durables : 3 ans de travail acharné pour réaliser un site gratuit, avec des valeurs ajoutées de conseil, de formation, de rédactions de communication, rapports RSE, etc… C’est vous qui direz si notre pari était le bon !

S’inspirer des réussites

Comment des entreprises ont réfléchi différemment ?

Comment ont-elles réussi à contourner les difficultés  ?

Découvrez leur intelligence et créativité.